Megan & Dylan

• Un jour peut-être, j'oserai tout te dire •

Midi. Cours de Maths avec une vieille prof sans autorité. Comme à mon habitude, comme j'étais au fond de la classe, je dessinais en rêvassant parfois, regardant par la fenêtre les oiseaux qui volaient. En cette saison froide, peu d'oiseaux étaient de sortie, me laissant donc dessiner sans distraction. J'aurais sûrement pu finir mon dessin si je n'avais pas été préoccupé pendant une heure de savoir si j'allais ou non aller voir le gars que j'aimais.

J'étais au lycée le plus réputé de Londres, j'avais une bonne moyenne. J'étais plutôt réservée, timide et pas trop sûre de moi. Je me préoccupais pas trop des garçons, j'étais plus dans ma musique et pourquoi pas, ma futur carrière de chanteuse. Beaucoup de monde savait que je faisais des vidéos sur Internet mais j'étais souvent mal à l'aise à l'idée d'en parler. Jusque là, je n'avais jamais vraiment été amoureuse d'un garçon. Quelques gars, par-ci par là, me prenant souvent pour une conne, j'avais laissé tomber l'amour. Seulement cette fois, j'étais à nouveau tombée amoureuse. Le seul problème, nous n'étions pas du même monde. Je ne pouvais pas espérer un jour parler à celui qui depuis un bon moment déjà, faisait battre mon cœur.

Dylan Sprouse. Oui, c'était lui que j'aimais. J'aimais tout chez lui; sa franchise, sa spontanéité, son humour, son langage, ses cheveux. Son look de beau gosse me faisait rêver. Sincèrement, quand on est en cours et qu'on imagine celui qu'on aime en train de vous embrasser chez lui, on commence sérieusement à douter de sa propre santé.

Alors que je rêvais, tout en dessinant un tigre, je sursautai en entendant le prof hurler. "MONSIEUR SPROUSE! AU FOND!". En panique, je regarde si il y a une autre place qu'à coté de moi. Le prof m'éclaircie direct: "A COTE DE MEGAN". VDM. Pourquoi il le met à coté de moi? Ça lui donne une occasion de voir que je suis trop timide et une occasion de plus pour se rendre compte que je ne serai jamais une fille pour lui.

Je lui souris, mal à l'aise, lorsqu'il se retourna pour voir où j'étais placée.

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Megan & Dylan

• Un jour peut-être, j'oserai tout te dire •

Mon plus gros défaut était de m'attacher trop vite aux personnes, au risque que ce ne soient pas les bonnes. Je m'étais attaché à Dylan à partir du moment où son regard avait croisé le mien, ce matin d'hiver. Mais je savais que Dylan n'étais pas comme tout le monde. On dit souvent que l'Homme parfait n'existe pas. C'est peut-être vrai. En tout cas, moi j'avais trouvé Mon homme parfait. Et c'était celui que je voulais garder toute ma vie.

J'avais entendu beaucoup d'échos sur les premières fois, mais après tout, je n'avais pas à comparer avec les leurs. Parce que c'était ma première fois, et c'était unique et incomparable. L'ange le plus excitant? Ça me plaisait comme référence, surtout venant du beau gosse qu'il était. Je lui souris lorsqu'il me corrigea.

- Ou la totalité, peut-être. Mais elles ne peuvent pas toutes être de petits anges excitants. Lui dis-je avec un clin d’œil.

L'entendre crier mon prénom de cette manière était l'une des choses les plus excitante à entendre. Je me mordis la lèvre en l'entendant gémir de la sorte. Alors que je continuais mes caresses avec plus d’assurance, j’allai déposer de petits baisers le long de son torse. Je l'embrassai avec fougue en mordillant parfois sa langue, en prenant son membre dans ma main pour faire de doux vas-et-vient sur celui-ci.

Ma peur se dissipa peu à peu. Dylan me mettait à l'aise et je voyais plus que lui. Ce que je voulais, c'était lui. Malgré de multiples avertissements de Liam, je ne pouvais m'empêcher d'aimer Dylan, encore moins à cet instant. Son regard me rendait folle, son sourire me laissait sans voix et sa présence m'excitait.

- Tu me rends dingue, Dylan.. Lui murmurai-je à l'oreille.

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• Un jour peut-être, j'oserai tout te dire •

Quand on rencontre une personne, on ne lui déballe pas sa vie dès le premier jour. Pourtant, parfois on rencontre des personnes tellement extraordinaires qu'on ose tout dire, tout faire. Parce qu'on ressent pour cette personne quelque chose assez fort, capable de surmonter la timidité que chacun renferme. Quand j'étais avec Dylan, j'étais dans un autre monde. Comme dans une bulle, et rien ne pouvait la percer. Ses mots étaient paroles d'évangile et je savourais chaque regard qu'il posait sur moi.

- C'est mignon. Mais tu sais, les anges deviennent des démons quand on s'approche trop près de leur trésor.

Son souffle sur ma peau me faisait frissonner. Sous ses airs de bad boy, Dylan avait un cœur auquel il était impossible de résister. Son regard était à lui seul capable de me séduire mais son corps donnait le véritable sens du mot "Désir".

Il m'avait appelé "Princesse"? Ok, je cru mourir à cet instant. Princesse était le plus beau surnom qu'un garçon pouvait donner à une fille. Ce surnom tellement mignon ne m'avait pourtant pas très souvent été attribué, mais venant de la bouche de Dylan, le surnom prenait tout son sens.

- Je t'aime. Lui avouai-je finalement.

Enfin oui, si ça n'avait pas été le cas, je me demande ce que je ferais ici. Mais ça me faisait du bien de lui dire enfin ce que je pensais depuis un moment, depuis le jour où il s'est fait remarquer pour la première fois en cours.

Il se mordit la lèvre entre deux gémissement avant de me demander d'arrêter avant qu'il y arrive. Je lui souris avant de le lâcher doucement pour repasser mes mains sur son torse, qui m'attirait beaucoup. Je regardai ses yeux envoûtant avant de basculer sur le coté pour me retrouver sous Dylan.

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• Un jour peut-être, j'oserai tout te dire •

Contrairement à ce qu'on pouvait penser, la jalousie n'était pas un défaut mais la plus belle preuve d'amour, le désir de garder la personne qu'on aime pour soi sans avoir à la partager. C'était pourtant simple, j'étais jalouse quand je m'y mettais mais je savais rester calme, jusqu'au jour où une fille s'approcherait trop de Dylan, et ça engendrerait la troisième Guerre Mondiale.

- Un démon jaloux, c'est sexy. Lui répondis-je en souriant.

Je crois que c'était la première fois que j'entendais Dylan dire "Je t'aime" à une fille, qui plus est, à moi. Quand il sortait avec une fille, je la voyais souvent se coller à lui, le pousser à bout et lui hurler dessus dès qu'il osait poser le regard sur autre chose qu'elle. Dylan n'avait pas l'air d'être quelqu'un qui ne s'accrochait si facilement aux filles. Enfin, c'est ce que j'avais cru en le voyant avec les autres, me faisant un mal pas possible. Tout le monde peut se tromper, peut-être que Dylan cachait une parte de lui qui s'attachait aux filles comme moi, peut-être...

Il m'embrassa de ses lèvres douces. Dieu qu'il embrassait bien! Il descendit doucement jusqu'à mon sexe et commença à le lécher doucement. Mon corps se cambra légèrement et j'ouvris la bouche comme pour parler, mais aucun mot ne sortait. Je basculai la tête en arrière en poussant un soupire de désir.

- Mmh oui Dylan!

Mes mains se glissèrent dans ses cheveux tandis que je lâchai de petits gémissements incontrôlables tant il me faisait du bien.

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• Un jour peut-être, j'oserai tout te dire •

Et alors que les choses se déroulaient, j'avais déjà des projets plein la tête. Je pensais à lui, à moi, à nous. Je pensais à un futur en commun, un futur où nous avions notre appartement, notre monde et notre couple.

- Tu verras ce que ça donne une sirène jalouse. Lui assurai-je en souriant.

Après m'avoir fait gémir avec sa langue, il enfila le préservatif et entra en moi doucement. Je cru mourir sous une déchirure interne. Je laisse échapper un cri provoqué par la surprise et la douleur. Je n'aurais jamais pensé avoir aussi mal. Même avec tant de douceur, je sentais les douleurs jusqu'à mon dos. Je mordis ma joue le plus fort possible de manière à ne pas laisser paraitre la douleur sur mon visage.

Je lui souris malgré tout, ne voulant pas le frustrer.

- Oui ça va...

Je savais que ce n'étais qu'une période et que je pourrai profiter ensuite pleinement de son corps dans le mien. Je le regardai à mon tour droit dans les yeux pour lui faire comprendre que j'en voulais plus, malgré le mal temporaire. Cette première fois était autant importante pour moi que pour lui, et je savais que si je mettais ma douleur de coté, lui comme moi, pouvions en profiter.

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• Un jour peut-être, j'oserai tout te dire •

Un avenir sans Dylan, c'était comme une tartine sans Nutella. C'était impossible. On dit souvent qu'à notre âge, l'amour est éphémère et qu'il n'est pas pour toujours, les "amourettes" comme disait souvent ma mère. Mais il y a des couples qui résistent, qui tiennent jusqu'à la majorité et qui peuvent ensuite profiter pleinement l'un de l'autre. C'était tout ce que je voulais. Passer ma vie avec Dylan. Grandir avec lui, vieillir avec lui et mourir avec lui.

Je ris lorsqu'il me dit qu'un coup de queue suffisait. En effet, je pourais être immonde avec les filles qui s'approcheraient de Dylan. Être une fille possessive, mais pas au point d'en étouffer celui que j'aime.

J'avais bien vu qu'il ne me croyait pas, c'était évident. Mais je n'allais pas lui demander de se retirer alors que je savais qu'il fallait que j'y passe un jour et ma virginité, je ne voulais l'offrir qu'à Dylan. Enfin, c'était déjà à moitié fait. Et j'étais plutôt contente de me dire que ma première fois aura été faite avec le mec le plus canon et le plus parfait du lycée.

Il fit de mouvement doux après m'avoir embrassé. La douleur était encore présente lors de ses mouvements mais se dissipa au bout d'un moment. Il restait une toute petite douleur mais avec ce que la souffrance que j'avais ressenti un peu plus tôt, je pouvais faire abstraction de cette petite douleur. Je soupirai de soulagement, heureuse de ne plus avoir si mal que ça. Je regardai Dylan avec beaucoup d'envie et lui répétai, sans mentir cette fois:

- Ça va...

J'étais à présent prête, plus aucune douleur n'atteignait mon envie.

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• Un jour peut-être, j'oserai tout te dire •

Imaginer son avenir à 16 ans, c'est assez compliqué. Entre le lycée, la famille, la musique et Dylan, ma vie était assez mouvementée. D'un coté, ma vie s'embellissait, et de l'autre, elle s'assombrissait. Ma vie devenait plus belle parce que j'avais enfin pu poser mes lèvres sur celles de celui que je convoitais. Mais je savais que si mon père l'apprenait,j'allais avoir de gros ennuis. Je n'avais pas beaucoup parlé à Dylan de mon père pour ne pas l'effrayer. Et puis aussi parce que mon père ne méritait pas d'avoir son prénom dans une conversation entre Dylan et moi.

Je ne savais pas tellement ce que Dylan valait en tant que petit-ami mais ce que je savais de lui suffisait à me faire comprendre qu'il allait être mon amour durant encore beaucoup de temps. N'ayant jamais vu Dylan aussi passionné, je lui donnais ma confiance et j'espérais secrètement qu'il en fasse de même.

Dylan accéléra doucement ses mouvements, faisant peu à peu disparaître totalement la douleur. Je me mordis la lèvre avant de le dévorer des yeux. Ses gestes étaient si doux et si patient que j'en avais le souffle coupé. Un gémissement m'échappa lorsqu'il me pénétra plus rapidement. Je fermai les yeux avant de basculer ma tête en arrière.3 Je lâchai un soupire de plaisir, sentant mon corps devenant toujours plus chaud sous le sien. Je le regardai dans les yeux avant de l'embrasser avec fougue, gémissant toujours plus du plaisir qu'il m'offrais.

- Ho mon dieu, Dylan!

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• Un jour peut-être, j'oserai tout te dire •

Quand j'y repense, je devais tout à la prof de maths. Si elle n'avait pas déplacé Dylan au fond, on n'aurait jamais parlé, on ne serait jamais allés chez le principal, on aurait jamais mangé à la boulangerie, on se serait jamais embrassés chez lui. Et on ne sera pas en train de se donner l'un à l'autre. Au final, le cours de maths a du bon, parfois.

Dylan était comme une porte de sortie de cette vie pour un monde meilleur. Un monde où les coccinelles sont verte, où les vaches mangent du bois et où la nuit n'existe plus. Un monde totalement différent, où tous les problèmes de l'adolescence disparaissaient, laissant place à l'amour et la beauté suprême d'un certain Dylan Sprouse.

J'avais une certaine assurance que seul Dylan avait été capable de faire ressortir. Avec lui, je me sentais belle, bien et je ne me sentais pas inutile. Je n'avais pas l'impression d'être traité comme un objet et d'être importante à ses yeux. J'aimais plonger mon regard dans le sien, ça me donnait la confiance en moi-même et je me sentais mieux.

Dylan embrassait comme un dieu, ces caresses étaient douce et ces baisers tendres. Ses mouvements me faisait frémir et gémir de plaisir. Je lui souriais, heureuse de la situation. Il m'embrassa dans le cou en me faisant frissonner. Il accéléra ses mouvement en gémissant plus fort. Je me mordis à nouveau la lèvre, ne voulant pas hurler. Mes soupires se faisait plus rapprochés et ne pu m'empêcher de gémir plus fort:

- DYLAN!

Il m'embrassa tendrement alors que je tentais de reprendre doucement mon souffle. On dit que les premières fois sont souvent ratées. Comme quoi pas toute. L'envie et le plaisir étaient au rendez-vous, alors que la douleur avait été rayée.

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• Un jour peut-être, j'oserai tout te dire •

On dit que l'amour n'existe pas. Mais on change vite d'avis lorsque la vie nous colle la vérité en face. Ce moment de faiblesse que vous avez lorsqu'une personne s'approche de vous. Cette sensation de manque que vous avez lorsque cette même personne s'éloigne de vous. Ce sentiment amoureux permanent que vous ressentez en pensant à cette personne. L'amour était un art délicat. Certains le maitrisaient, d'autres moins. Je n'avais jamais voulu apprendre à maitriser cet art. En revanche, Dylan était très doué et m'y avait initié inconsciemment. J'aimais Dylan. Plus que tout au monde, plus que ma propre existence. Car lui seul m'avait donné autant d'affection, autant de gestes d'amour et de douceur. Je ne pouvais déjà plus me passer de lui.

Sentir son corps chaud caresser le mien était juste un pur bonheur. Ses lèvres étaient douces, ses yeux étincelaient et son corps de rêve faisait chavirer les cœur. Désolée mesdames, ce que j'ai, je le garde. Jamais une personne m'avait autant attiré, autant fait voyager à travers un simple baiser. En me plongeant dans son regard, la vie prenait tout son sens.

Il vint me murmurer à l'oreille des mots d’assurance, comme pour me mettre en confiance. Je lui fis un joli sourire avant de caresser ses lèvres avec les miennes. C'était devenu quelque chose qui m'était indispensable: Je ne pouvait plus le regarder sans l'embrasser.

Encore une fois, ce garçon m'avait prouvé que j'étais libre. Avec tout le plaisir qu'il me procurait, je le devais d'en faire de même. Je fit rouler Dylan pour atterrir sur lui. J'embrassai avec fougue et envie ses lèvres avant de glisser dans son cou pour embrasser son torse et terminer près de son membre que je saisis doucement. Je le regardai avec envie, comme attendant une réponse de sa part, s'il était d'accord ou non pour que j'aille moi aussi lui donner du plaisir par le biais de mes lèvres sur son membre.

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• Un jour peut-être, j'oserai tout te dire •

Dylan était de loin la personne la plus géniale avais rencontré dans ma vie. Il me faisait sourire, rire, frémir, frissonner, gémir, bref. Il me faisait vivre. Je m'imaginais déjà avec lui dans une autre situation. On rigolerait ensemble, on chahuterait ensemble, on se confirait, on se donnerait l'un à l'autre. Mon cœur ne battait déjà plus que pour lui, ses yeux et son corps. Je voyais mon ombre dans la sienne, mon regard dans le sien et mes lèvres sur les siennes.

Je le regardai avec passion lorsqu'il me donna son accord pour la suite. Je pris son sexe entre mes lèvres, je me découvrait peu une personnalité que je n'avais jamais vraiment eu. Donner du plaisir à Dylan était comme un hobby et je comptais m'y exercer encore longtemps. Je fis de doux vas-et-viens avec mes lèvres, le caressant avec ma langue. Je me redécouvrait, plus si sage que ça. Mais je devais avouer que j'aimais ce que je lui faisais.

Je voulais lui procurer autant de plaisir qu'il m'en avait donné. Tout en accélérant un peu mes mouvements, je caressais ses bourses pour lui prouver qu'une fille sage à l'école peut très bien être la plus fougueuse ailleurs. C'est avec toute la sensualité dont j'étais capable que je le regardais en faisant des vas-et-vient toujours plus profond.

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• Un jour peut-être, j'oserai tout te dire •

Les gémissements de Dylan me prouvaient que ce que je faisais lui plaisait et ses cris m'excitaient plus que je ne pouvais le croire. Je le sentis durcir dans ma bouche, me faisant sourire inconsciemment. Son plaisir était le mien et lui faire du bien était pour moi une chose magique.

C'était dingue. Dire qu'il y a encore quelque jours, jamais je n'aurai pu faire ce genre de chose à n'importe qui. Et maintenant que j'y étais, je me sentais comme libre et sans limite. Pour une première fois, je devais avouer que c'était des moments magnifiques. Des mouvements doux, des baisers fougueux, des caresses d'envie. Je ne pouvais pas me passer de Dylan, il était comme une drogue pour moi, et j'étais devenu presque dépendante de cette drogue.

Je savais que c'était lui. C'était lui que je voulais à coté de moi au réveil tous les matins, que je voulais la journée au lycée dans mes bras, et je voulais m'endormir le soir à coté de lui, en admirant la chance que j'avais de pouvoir vivre avec lui.

J’accélérai encore plus mes vas-et-vient, en restant douce et fougueuse en même temps. Évidement, je ne pouvais pas tellement lui parler ou lui répondre. Je comprenais d'ailleurs maintenant l'humour un peu décalé de Caroline lorsqu'elle m'avait dit "N'essaie pas de parler la bouche pleine, c'est des coups à en mettre partout". Ses paroles avaient leur sens, même si c'était un humour assez pervers.

On ne se l'était encore pas clairement dit, mais je n'arrivais toujours pas à croire que je sortais avec Dylan Sprouse.

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Dylan était un amour. Mon amour. Même si un jour ça devait se finir mal entre lui et moi, c'était une personne que je n'allais jamais oublier. Simplement parce qu'il aura été la première personne avec qui je pouvais entièrement être moi-même. La première personne à en voir autant de moi, à me faire cet effet, à me rendre aussi heureuse en si peu de temps.

Liam m'avait beaucoup dit de ne pas trop m'apocher de Dylan, il m'avait recommandé de laisser une certaine distance entre lui et moi. Il se faisait du soucis pour moi, ce que je comprenais mais je comprenais peu à peu que les préjugés sur Dylan n'étaient que mensonges. J'allais avoir du mal à le prouver à Liam sans lui dire que j'avais fini dans le lit de Dylan.

Mais quand j'étais avec Dylan, plus rien n'avait d'importance. J'oubliais tous mes problèmes et vivais un pur bonheur dans les bras de Dylan. Ses bras qui m'avaient enlacé, qui m'avaient rassuré. Les lèvres de Dylan étaient toute douces et attirantes. Sa langue était fougueuse et plus sensuelles que tout. Et bien sûr, les yeux plus expressifs que n'importe qui. Bref. Dylan en lui-même était magnifique. Magique. Attirant. Doux. Tendre. Amusant. Gentil. Généreux. Il est était tout simplement Parfait.

Je m'arrêtai doucement pour embrasser son torse, me permettant de reprendre silencieusement mon souffle. Dylan était sûrement le mec le mieux foutu du lycée. Ce qu'il faut, là où il faut. Il était vraiment parfait, autant mentalement que physiquement.

- Et toi tu es un Dieu.

Vous allez me dire; Un dieu de quoi? Mais on s'en fiche, puisqu'il était un dieu dans toutes les matières et ça, il le savait. Et si ce n'était pas le cas, j'allais très vite le rassurer en lui prouvant le contraire.

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• Un jour peut-être, j'oserai tout te dire •

Je ne voulais pas que Dylan oublie sa première fois, je voulais qu'elle soit parfaite, autant qu'elle l'avait été pour moi. Les frémissements de Dylan étaient contagieux et je frémis à mon tour. Je pouvais l'embrasser, le prendre dans mes bras, le caresser, lui dire que je l'aimais, je pouvais simplement tout faire. Faire ma vie avec. Je voulais son bonheur, son plaisir. Son sourire ensorceleur m'envoûtait, je perdais mes mots à sa vue. C'était simplement le signe que j'étais amoureuse de lui.

J'embrassai son torse, toujours en caressant son membre, allant parfois déposer de petit baiser sur sa joue. Je savourais chaque partielle de son corps, tant il était attirant. Je posais mon menton sur son torse en le regardant amoureusement, ma main droite toujours occupée.

- Mais de rien!

Je pouvais tout dire à Dylan, j'avais une totale confiance en lui. Mes sentiments étaient assez forts et j'étais assez sûre de moi. Je savais que je voulais Dylan et personne d'autre. La vie allait nous mettre des bâtons dans les roues mais malheureusement pour elle, je sais aussi marcher. Je savais que je pouvais compter sur Dylan. On dit souvent "Si il tombe, je tombe". Phrase de perdant. Si il tombait, moi je le rattraperais.

Il savait ce que j'étais capable de faire pour lui. Je pouvais tout faire par amour, quitte à tout plaquer, je ne voulais qu'un futur dans les bras de Dylan, rien de plus.

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